Au Niger, l’Union africaine continue de mettre la pression aux putschistes pour libérer Mohamed Bazoum, renversé le 26 juillet dernier.
Trois mois après le coup d’Etat au Niger, l’ancien président Mohamed Bazoum est toujours aux mains des putschistes. Réuni la semaine dernière à Addis-Abeba, le Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine a exprimé ses inquiétudes sur la situation au Niger.
L’organe de l’UA réitère son appel pour la libération immédiate et sans condition de Mohamed Bazoum, de son épouse, de son fils ainsi que de toutes les personnes détenues dans le cadre du putsch.
Le CPS réclame un calendrier clair pour la transition au Niger, notamment pour un dialogue national et des élections. Un dialogue que le CPS appelle les autorités de transition à organiser sans exclusive. L’organe exige également une coopération avec la Cédéao.