Trois jours après l’explosion de gaz survenue à Akpakpa Ayelawadje 1, à Akpakpa, les ministres de l’Intérieur, des Affaires sociales et de la Santé se sont rendus au CNHU ce 14 janvier pour soutenir les victimes. Le bilan fait état de morts et plus de 150 personnes touchées, dont de nombreux enfants.
L’explosion de gaz survenue le 11 janvier à Akpakpa, dans le quartier Ayelawadje 1, a causé d’importants dégâts humains. Selon le ministre de la Santé, cité par Frissons Radio, plus de 150 personnes ont été affectées, dont la moitié sont des enfants, avec des décès et une dizaine de cas graves pris en charge.
Grâce à la mobilisation des services de santé, plus des deux tiers des victimes ont pu regagner leur domicile, mais une cinquantaine restent en observation au CNHU. Les ministres présents sur place ont salué les efforts du personnel médical et ont réitéré leur soutien aux familles touchées par ce drame.
Le ministre de l’Intérieur a profité de l’occasion pour appeler à la vigilance et sensibiliser la population sur les dangers liés au stockage de produits chimiques.